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SIGFRIDO
(La leggenda dei Nibelunghi)
1957, regia di Giacomo Gentilomo
Scheda: Nazione: Italia - Produzione: Aeffe Cinematografica - Distribuzione: Fortuna, Regionale - Soggetto: dalla leggenda dei Nibelunghi - Sceneggiatura: Antonio Ferrigno, Giacomo Gentilomo, Giorgio Costantini - Fotografia: Carlo Nebiolo - Montaggio: Rodolfo Novelli - Scenografia: Beni Montresor - Musiche: Franco Langella (e brani da Sigfrido e Il Crepuscolo degli dei di Richard Wagner) - Effetti speciali: Carlo Rambaldi - Formato: Supercinescope Eastmancolor.
Cast: Sebastian Fischer, Katherine Mayberg, Ilaria Occhini, Rolf Tasna, Giulio Donnini, Giuseppe Longo, Giorgio Costantini, Stelio Candelli, Alberto Cinquini, Cristina De Angelis, Bianca Doria, John Gambino, Tina Gloriani, Philippe Hersent, Livio Lorenzon, Franca Mazzoni, Enrico Olivieri, Pietro Tordi.
«Prendendo spunto dall’omonima opera di Wagner, il film narra le gesta di Sigfrido e del suo amore per Crimilde, che suscita la gelosia di Hagen, il quale, per attuare i suoi perversi disegni, spinge la storia fino ad una tragica conclusione»
(Vito
Attolini).
Vedi anche:
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Plot Summary, Synopsis, Review:
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«Malgré un titre français flou, Le chevalier blanc est bel et bien une
adaptation de la légende des Nibelungen et de Siegfried, légende trouvant ses
racines dans le haut moyen-âge européen et ayant été mise par écrit aux
alentours du XIIème siècle dans les régions germaniques. Ce texte fut
redécouvert, notamment dans l'Allemagne romantique du XIXème siècle, époque à
laquelle l’on s’intéresse aux trésors du moyen-âge et l'on se passionne pour les
contes et les traditions populaires. Ainsi, le compositeur d'opéra Richard
Wagner s'inspire de cette légende pour sa fameuse tétralogie. Au cinéma, la plus
fameuse transposition des aventures de Siegfried s'avère le fastueux diptyque
des
Nibelungen réalisé par Fritz Lang en Allemagne... Avec ce Le
chevalier blanc de 1957, nous avons affaire à une nouvelle formulation
visuelle des aventures mythiques de Siegfried. Tout d'abord, le film n'est plus
en 1.33, comme au temps de Fritz Lang, mais en scope, format s'étant popularisé
au cours des années 50. Aux compositions massives et monumentales de Lang,
Gentilomo substitue de spectaculaires vues d'ensemble et gère l’écran à la façon
d’une vaste scène de théâtre. Surtout, Le chevalier blanc est en couleurs
et parlant ! La nature resplendit d'une verdeur printanière, tandis qu'à la cour
de Worm, le roi et sa cour se parent de costumes aux teintes éblouissantes! Si
LES Nibelungen avait été essentiellement tourné dans des studios de
Berlin, cette nouvelle version s'offre de très nombreux extérieurs. Les
gigantesques arbres artificiels de Lang se voient remplacés par de véritables
paysages de forêts et de montagnes, apportant un regard inédit sur cette
aventure ponctuée par de somptueuses chevauchées dans des grands espaces, telle
cette superbe séquence de chasse à cours durant laquelle les Burgondes traquent
des daims et des sangliers dans une magnifique forêt! De même, les scènes chez
les Burgondes différent de celles de Fritz Lang. Celui-ci donnait à cette cour
des ambiances barbares, évoquant le haut moyen-âge, celui de Charlemagne ou les
traditions Vikings…».
Conosciuto anche con i titoli: La leggenda dei Nibelunghi; Le chevalier blanc; The Dragon's Blood.