LE FRERE DU GUERRIER

2002, regia di Pierre Jolivet

Scheda: Nazione: Francia - Produzione: Bac Films, Le Studio Canal+, Les Films Alain Sarde, Little Bear, M6 Films, Studio Images 8 - Distribuzione: Bac Films - Soggetto: Pierre Jolivet, Simon Michaël - Sceneggiatura: Pierre Jolivet, Simon Michaël - Fotografia: Pascal Ridao - Montaggio: Yves Deschamps - Costumi: Yvonne Sassinot de Nesle - Musiche: Serge Perathoner, Jannick Top - Formato: Color - Durata: 115'.

Cast: Vincent Lindon, Guillaume Canet, Mélanie Doutey, François Berléand, Brunelle Lemonnier, Frédéric Lacave, Perkins Lyautey, Roch Leibovici, Manuel Le Lièvre, Christophe Van de Velde, Augustin Legrand, Anthony Decadi, Philippe Fretun, Franck Gourlat, Arlette Thomas, Frédérique Moidon, Josiane Lévêque, Anne Le Ny.

Trama e commenti: film.tv.it - iledefrance.splinder.com: «Le frère du guerrier costituisce un progetto ambizioso raccontando una storia d’ambientazione medioevale di due fratelli e di una donna, la moglie di uno dei due, che sarà il collegamento tra i due. Peccato che fallisca sotto ogni punto le aspettative. La pochezza delle scene d’azione, lo scarso appeal della storia bastano a rendere il film un prodotto assolutamente inutile. Il film risulta anche soporifero per l’inutile lentezza, i silenzi prolungati carichi di nulla».

Plot Summary, Synopsis, Review: IMDb - allocine.fr - adulecine.ovh.org - fluctuat.net - entertainment.msn.com - ecrannoir.fr: «France, XIIIème siècle. Frappé par des brigands, Arnaud a perdu la mémoire et le savoir qu'il possédait, celui de la science des plantes médicinales. Sa jeune épouse "boiteuse", Guillemette, parvient à convaincre un mercenaire, Thomas, le frère aîné d'Arnaud, de l'aider à faire face à la situation. Mais dans cette quête du savoir perdu, le savoir des armes ne suffit pas à tout régler, et l'attirance entre Guillemette et Thomas ne fait que compliquer la situation».

Approfondimenti: Movie Review

Il sito ufficiale del film

Intervista a Pierre Jolivet (dal sito bandes-annonces.com): «D’où est venu ce désir de vous projeter pour la première fois dans une époque lointaine, en l’occurrence le XIIIe siècle?

Il y a quatre ans, j’ai écrit avec Pascal Quignard un scénario qui s’intitulait ‘La Rivière du Voleur’ et dont l’action se déroulait à la Renaissance. Je n’ai jamais réussi à monter ce film , il était un peu trop cher. J’en avais gardé une grande tristesse parce que j’ai toujours pensé que cette période et celle qui la précède où se déroulent Le Frère du Guerrier, était très existante visuellement, esthétiquement, cinématographiquement. Cette certitude a été évidemment nourrie par des films qui vont du ‘Château du l’Araignée’ ou ‘Sept Samouraïs’ de Kurosawa à ‘La Source’ ou au ‘Septième Sceau’ de Bergman. Je fais partie de cette génération qui allait voir un Truffaut le matin, un Bergman l’après midi et un John Ford le soir. Depuis toujours, j’ai l’enfance, j’aime les histoires qui ont de l’espace pour se déployer. Dès que j’ai commencé à faire du cinéma, j’ai eu en tête de réaliser, un jour, un film qui corresponde à ça.

Et après ‘Ma Petite Entreprise’, vous avez eu les moyens et la liberté de le faire?

Oui. Depuis ‘Fred’ que je travaille avec Simon Michael, j’ai pris goût à une écriture très longue, très fouillée, avec temps d’arrêt. Pendant que je préparais ‘En Plein Cœur’, j’étais déjà mobilisé par le scénario de ‘Ma Petite Entreprise’. Son succès m’a permis de m’engager avec les films Alain Sarde et Frédéric Bourboulon pour deux films- Jean Labadie nous a rejoint à la lecture des scénarios – et j’ai décidé d’écrire à la fois, ‘Le Frère du Guerrier’ et une comédie, ‘Les Filles Uniques’. Avec Simon MICHAEL, on a travaillé quatre mois sur un projet, on s’est arrêtés , on a travaillé quatre mois sur l’autre, et on a ainsi abouti à un cycle de deux ans , où s’étaient accumulés les strates des deux scénarios, les remises à plat successives, les différents états. Plus les sujets sont éloignés l’un de l’autre et plus l’exercice est gratifiant. On entre à chaque fois dans un univers différent, cela permet de se régénérer en permanence. C’est ainsi que sont nées simultanément une comédie très féminine, moderne, légère, et une épopée intimiste, médiévale et assez sauvage…..

Quelle a été l’idée de départ du ‘Frère du Guerrier’?

Je me suis dit, c’est l’histoire de deux frères. J’ai toujours eu des rapports très forts avec mes deux frères. Les personnages principaux de mes films ont souvent eu un compagnon, un ami, une sorte de frère de substitution, il était temps de parler de substitution, il était temps de parler de fraternité, sans intermédiaire. C’est ainsi que ‘Le Frère du Guerrier’ qui, par l’époque où il se déroule, peut apparaître très loin de moi, est peut être le film le plus intime que j’ai écrit».

Conosciuto anche con il titolo: The Warrior's Brother.

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